Selon les résultats d’une étude canadienne publiée dans Nature Communications, un médicament anti-inflammatoire à base de plantes pourrait être en mesure de réduire les effets secondaires graves de la chimiothérapie.
Le cimicifuga est une plante utilisée traditionnellement comme anti-inflammatoire depuis des millénaires. La plante a été utilisée en médecine traditionnelle pour traiter les maux de dents, mais aussi pour traiter les maladies du foie et de la vésicule biliaire, notamment la maladie de Nash et la maladie des voies urinaires.
Cette nouvelle étude canadienne sur les Cimicifuga racemosa suggère qu’une autre propriété pourrait être sa capacité à aider à lutter contre les effets secondaires graves de la chimiothérapie chez les patients atteints de cancer du sein.
Les chercheurs ont examiné les résultats d’études qui comparent les effets du médicament à base de plantes à ceux de certains médicaments contre le cancer couramment prescrits, et ont constaté que les patients traités par Cimicifuga racemosa avaient moins de douleurs et de fièvre.
Traiter les effets secondaires graves
En effet, les médicaments contre le cancer les plus couramment prescrits sont souvent administrés aux patients qui souffrent des effets secondaires graves d’une chimiothérapie.
Le plus souvent, les patients prennent des médicaments qui inhibent les enzymes qui décomposent les médicaments, et ils sont connus pour être plus toxiques pour le foie et les reins. Les inhibiteurs de l’enzyme qui décomposent les médicaments sont connus sous le nom de CYP2D6.
Les chercheurs ont comparé les effets indésirables de quatre médicaments contre le cancer couramment prescrits à ceux de deux médicaments à base de plantes, la fésotérodine et la fésostatine.
Ces médicaments peuvent tous deux réduire la production d’enzymes qui décomposent les médicaments et augmenter les effets secondaires de la chimiothérapie.
En effet, la fésostatine réduit la production d’enzymes par les cellules hépatiques, tandis que la fésotérodine inhibe les enzymes qui décomposent les médicaments.
En comparant les résultats des deux médicaments, les chercheurs ont conclu que la fésostatine avait des effets secondaires plus graves et plus fréquents sur le foie, notamment une augmentation du risque d’infections virales et de cancer du foie, tandis que les effets secondaires de la fésostatine étaient plus faibles et moins fréquents sur le foie et la rate.
Une alternative aux inhibiteurs de l’enzyme ?
Les chercheurs disent que cette étude est la première à démontrer que l’utilisation de la fésostatine à faible dose pourrait être une alternative aux inhibiteurs de l’enzyme.
La fésostatine pourrait réduire la production d’enzymes qui décomposent les médicaments et augmenter les effets secondaires de la chimiothérapie.
Les chercheurs croient que cette étude pourrait être un premier pas vers la mise au point d’un nouveau médicament qui pourrait aider les patients atteints de cancer du sein, notamment ceux qui prennent un médicament à base de plantes contre les effets secondaires graves de la chimiothérapie.
En effet, la fésostatine pourrait agir comme un traitement à long terme qui pourrait aider les patients à gérer ces effets secondaires graves et à éviter les effets secondaires des inhibiteurs de l’enzyme.
Par contre, il faut être prudent quant à la prescription de la fésostatine, car elle peut réduire la production d’enzymes qui décomposent les médicaments et augmenter les effets secondaires de la chimiothérapie.
De plus, la fésostatine peut être contre-indiquée pour les patients qui prennent des médicaments anti-inflammatoires à base de plantes.
La fésostatine et les autres inhibiteurs de l’enzyme ?
La fésostatine et d’autres inhibiteurs de l’enzyme sont souvent prescrits pour traiter le cancer du sein.
Certains d’entre eux peuvent réduire la production d’enzymes qui décomposent les médicaments. Ces médicaments peuvent également augmenter les effets secondaires de la chimiothérapie.
Cela signifie que les patients qui prennent ces médicaments doivent être prudents lors de la prescription. Ils doivent être informés des effets secondaires graves de ces médicaments et des effets secondaires potentiellement mortels de la chimiothérapie si ces médicaments sont pris pour traiter le cancer.
Enfin, la fésostatine et d’autres inhibiteurs de l’enzyme peuvent également augmenter la probabilité d’effets secondaires graves et graves de la chimiothérapie.
Cela signifie que les patients doivent être vigilants et surveiller attentivement les effets secondaires des inhibiteurs de l’enzyme pendant la chimiothérapie.
Des essais cliniques sont nécessaires
En effet, la fésostatine est un médicament à base de plantes qui peut être bénéfique pour les patients atteints de cancer du sein, mais des essais cliniques plus approfondis sont nécessaires pour déterminer si elle est bénéfique pour les patients qui prennent des inhibiteurs de l’enzyme.
La fésostatine et les autres inhibiteurs de l’enzyme sont des médicaments à base de plantes qui peuvent être bénéfiques pour les patients atteints de cancer du sein, mais il faut des essais cliniques plus approfondis pour déterminer si ils sont bénéfiques pour les patients qui prennent des inhibiteurs de l’enzyme.
En effet, la fésostatine et d’autres inhibiteurs de l’enzyme sont des médicaments à base de plantes qui peuvent être bénéfiques pour les patients atteints de cancer du sein, mais des essais cliniques plus approfondis sont nécessaires pour déterminer si elle est bénéfique pour les patients qui prennent des inhibiteurs de l’enzyme.
Cimicifuga racemosa et autres remèdes à base de plantes
Cimicifuga racemosa est un autre remède à base de plantes qui peut être bénéfique pour les patients atteints de cancer du sein.
Cette plante est traditionnellement utilisée pour traiter les maux de dents, la bronchite et les infections des voies respiratoires supérieures.
Les chercheurs ont examiné les résultats d’études qui comparent les effets du médicament à base de plantes Cimicifuga racemosa à ceux de certains médicaments contre le cancer couramment prescrits, et ont constaté que les patients traités par Cimicifuga racemosa avaient moins de douleurs et de fièvre.
Cependant, ils ont noté que la fésostatine avait des effets secondaires plus graves et plus fréquents sur le foie, notamment une augmentation du risque d’infections virales et de cancer du foie, tandis que les effets secondaires de la fésostatine étaient moins fréquents et moins graves sur le foie et la rate.
En conclusion, il est probable que les patients qui prennent du Cimicifuga racemosa aient moins de fièvre et de douleurs, mais la fésostatine pourrait être associée à des effets secondaires plus graves et plus fréquents sur le foie.
Il est donc important de discuter de l’utilisation de la fésostatine avec un médecin pour s’assurer que la fésostatine est sécuritaire pour eux.